22 juillet 2009
EPITAPHE EPICURIENNE
Ne pleure pas mon âme il restera toujours l'issue
Noble entre toutes quand les noires mâchoires du destin
Te serrreront dans leur étreinte, et tu sauras que l'heure grave
Pour toi ne sonnera qu'une fois, l'heure sérénissime,
Et tu sauras, sans regret, remords ou nostagie, quitter
Les rivages dorés de la lumière...ce que tu laisses
Garde-le, et ce que tu emportes, laisse-le!
Quitte léger cet arpent de terre où tu vécus
Et même ce Jardin des dieux paisibles et sereins
Laisse-le sans regret à tes amis! et qu'importe le reste?
Tu n'étais point, tu fus, et tu n'es plus, quelle importance?
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