2 avril 2009
SIGNE : seconde version
Signe, elle était signe, et je ne sais de quoi
Et moi je l'aimais d'innocence
Sans savoir et sans pouvoir
Comprendre d'où venait cet effroi.
Il faut garder précieusement
L'énigme du désir
Ne rien profaner.
Dans les forêts impénétrables du coeur
Règnent misère et solitude
Mais les oiseaux chantent du matin jusqu'au soir
Avant la grande nuit qui trempe les noirceurs.
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